Dans cette grande fresque mêlant humour, poésie et absurde, quatre comédiens-jongleurs s’amusent avec de simples draps blancs, qu’ils tordent, plient, manipulent et distordent à l’infini.

Objet à la fois personnel et universel, le drap se pose ici comme le témoin de notre mémoire collective et de nos rituels communs et intimes. Entre satire sociale, écriture cinématographique et circassienne, Tancarville nous invite à une traversée des civilisations et du temps. 

Un voyage où le réel, la fiction et l’onirisme se mêlent pour offrir une expérience théâtrale unique, décalée et profondément drôle.